Depuis 2012, nous sommes engagés en RSE avec notre stratégie « Ideal – People, Planet, Progress »
Au travers de cet audit, nous évaluons la pertinence et la pérennité de nos actions RSE. Cet audit par un organisme indépendant (Bureau Veritas) atteste également que la RSE chez nous n’est pas une simple réponse à des enjeux d’image ou des obligations légales.
1/ Pourquoi avons-nous fait le choix de nous faire auditer ISO26000 ?
Depuis notre création, nous avons intégré la RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise) au cœur de notre stratégie. Elle a été formalisée en 2012 et s’intitule Idéal, déclinée en 3 volets People, Planet, Progress. Notre politique RSE évolue sans cesse, dans une logique d’amélioration continue. Nous avons donc décidé de faire évaluer notre politique RSE selon la norme ISO26000, par un organisme extérieur, en 2014 et à nouveau en 2018 pour avoir un regard objectif et critique sur la pertinence de nos actions et aussi pour identifier nos axes de progrès.
ISO26000 est la référence internationale en matière de RSE et la garantie d’une évaluation objective. L’audit est réalisé sur plus de 140 points répartis en 7 grands thèmes que sont :
- La gouvernance de l’organisation
- Les droits de l’Homme
- Les relations et conditions de travail
- L’environnement
- La loyauté des pratiques
- Les questions relatives aux consommateurs
- Le développement des communautés locales
2/ Y ‘a-t-il un point qui ressort particulièrement de cet audit ?
De nombreuse actions ont été reconnues exemplaires par Bureau Veritas, 2 exemples :
- l’amélioration de l’impact environnemental et sociétal de toutes nos solutions à horizon 2020;
- notre implication dans l’égalité des chances pour l’accès à l’emploi;
Ces deux engagements structurants, nous ont permis d’obtenir la note de 4.02 / 5, lors de l’audit réalisé en octobre 2018. Cette note témoigne d’une appropriation structurée, complète et justifiée de notre politique RSE.
3/ Quels sont nos axes de progrès sur ces engagements ?
Nous souhaitons aller plus loin dans nos engagements RSE.
Nous avons d’ores et déjà analysé et comparé le cycle de vie du Ticket Restaurant® dans sa version papier et carte. Cette analyse, réalisée en décembre 2016, nous permet de mieux comprendre les impacts environnementaux propres aux deux types de supports et d’identifier les pistes d’amélioration possibles de chaque support. Les résultats de l’étude ont montré l’impact nettement positif de la carte sur 2 des 3 indicateurs étudiés. Une autre action est la mise en place du recyclage de la carte Ticket Restaurant® qui permet une revalorisation de 100% des matériaux.
En ce qui concerne notre engagement pour l’accès à l’emploi de tous, notre équipe recrutement a mis en place un nouveau process. Les candidats sont évalués par mise en situation, via des cas concrets. Il ne leur est pas demandé d’avoir une expérience similaire sur le poste à pourvoir mais de faire preuve d’aptitudes et de motivation. Cette évaluation se réalise de plus sans le CV. Cette pratique a été récompensée par la Fondation MozaïkRH, le 27 novembre dernier, qui nous a décerné le « Trophée Top 10 2018 des recruteurs de la diversité« .
4/ Comment avons-nous mobilisé l’ensemble des parties prenantes internes et externes autour de cet audit ISO26000 ?
En interne, chaque direction développe des projets en lien avec son périmètre et prend part à la réalisation de projets transversaux au profit de nos engagements. Par exemple, notre DSI a pris part à l’étude WeGreenIT portée par WWF et le Club Green IT, aux côtés de 24 autres entreprises, dont l’ objectif est d’encourager les initiatives pour un numérique plus responsable.
En externe, l’association de nos parties prenantes externes clients, utilisateurs et partenaires marchands se systématise afin de co-construire des projets et répondre conjointement à nos enjeux en matière de RSE. A titre d’exemple, ERF a lancé une opération « anti-gaspillage alimentaire » en collaboration avec l’ESS Framheim, pour accompagner nos partenaires marchands restaurateurs dans la prise en compte de la lutte contre le gaspillage alimentaire et l’obtention d’une labellisation « anti-gaspi ».