Rencontre avec Philippe Fontes, responsable Formation et Relations Sociales chez Orchestra Prémaman.
Bonjour Philippe Fontès. Orchestra Prémaman est une belle entreprise, quelle est son activité ?
Orchestra Prémaman conçoit et distribue des vêtements pour enfants de 0 à 14 ans. Nous avons également une gamme de vêtements de maternité. Enfin, nous distribuons des articles de puériculture.
C’est à partir d’ici, au siège près de Montpellier, que nous concevons l’ensemble de ces vêtements. Toujours sur ce site de Saint-Aunes, notre plate-forme logistique reçoit, entrepose et gère l’ensemble des produits textiles.
Vous vous occupez personnellement de la problématique restauration des salariés. Quelles sont les contraintes à gérer ?
Nous avons 400 collaborateurs ici, mais il y en a 1100 autres répartis en France dans nos magasins. Il fallait donc que nous abordions et trouvions une solution adaptée à la fois pour les salariés du siège et pour ceux qui travaillent dans le réseau de distribution.
Vous avez décidé de démarrer directement avec la Carte Ticket Restaurant® ? Pourquoi ce choix ? Et quelles en ont été les conséquences ?
Le choix du système de la carte a répondu à notre problématique de gestion back office. En effet, avec les titres restaurants papier que nous distribuions précédemment, nous procédions par envois mensuels en recommandé, pour nous assurer que tous les collaborateurs avaient bien reçu leurs titres. Du coup, quand Edenred nous a présenté la carte et son processus dématérialisé, il y a eu tout simplement un déclic. Nous avons pu aller plus vite, ce qui constitue un premier point positif.
Du côté des bénéficiaires également, la carte a été regardée comme une commodité, facile à utiliser car nous sommes habitués à ce type de fonctionnement. D’ailleurs, les bonnes pratiques se sont mises rapidement en place. D’autant que nous avions associé les partenaires sociaux à la démarche et qu’ils étaient en accord avec nous.
Il reste que le seuil des 19 euros déroute un peu au début, car du coup les commerçants sont beaucoup plus vigilants sur les montants. La limite est strictement respectée avec la carte, alors qu’il faut bien reconnaître qu’avec les titres papier, il y avait des dérives.
Merci Beaucoup Philippe Fontes