Bonjour Antoine Bomer. Vous êtes gérant de la crêperie Le Frenchy à Nîmes. C’est une installation récente ?
En fait, je suis cogérant majoritaire, avec ma femme. L’établissement existe depuis 11 ans, mais nous l’avons repris en 2013.
De quelle région veniez vous?
Dernièrement, de la région parisienne.
Il s’agit, je crois, d’un changement de parcours professionnel ?
Complètement ! Pour ma part j’étais développeur informatique tandis que ma femme était responsable commerciale. Nous nous sommes donc formés en vue de ce changement, mais tout s’est bien passé. En douceur...
Imposer une crêperie à Nîmes, est-ce facile ? Ce n’est pas vraiment la région ?
Non pas du tout, et d’après les locaux, ce serait même exotique. On a entendu de tout. Mais ils se disent : après tout pourquoi pas ? Il y a de nombreux types de cuisine proposés ici, mais celle qui impressionne, ou qui amuse plutôt, c’est la crêperie !
Vous vous trouvez en plein centre-ville, à quelques minutes à pied des Arènes, dans un quartier piétonnier. L’accessibilité pour les entreprises ne pose-t-elle pas problème ?
Non car, d’une part nous avons nombre d’entreprises à proximité, notamment des administrations, comme la mairie, la CPAM, pas mal de banques aussi. Et d’autre part, depuis son inauguration en novembre 2016, le Tram bus, qui relie les grandes zones commerciales périphériques au centre ville, a élargi notre clientèle aux employés travaillant sur ces zones. Ils peuvent nous rejoindre, sans voiture, en quelques minutes.
Avec les entreprises, vous acceptez certainement le Ticket Restaurant®. Sans compter que votre début d’activité s’est situé en quasi-concordance de temps avec la mise en place de la Carte Ticket Restaurant®. Comment cela s’est passé pour vous?
Nous avons très vite découvert l’importance des titres restaurant dans la vie d’un restaurateur... Après l’avoir bien connue coté employé puisque nous en bénéficions dans notre ancienne vie de salariés. On se rend compte que la version papier représente beaucoup de travail, et une certaine lourdeur au niveau des envois. Alors bien sûr, en voyant arriver la version dématérialisée, nous avons vu de suite le potentiel de simplification avec ce nouveau moyen de paiement. Et nous espérons bien qu’il va se généraliser
La carte évolue régulièrement, avec des mises à jour régulières des terminaux de paiement régulières. Comment le vivez-vous ?
Franchement, de notre côté, il n’y a pas eu grand-chose à faire. De fait, notre terminal Carte Bleue, que nous venions de choisir, disposait déjà l’intégralité des caractéristiques permettant de traiter ce type de paiement. Il n’y a eu qu’un petit réglage à effectuer par notre prestataire. Tout a bien fonctionné depuis, aussi simplement qu’avec une carte bancaire.
Merci Antoine Bomer, je vous souhaite un bon service !